Les droits des enfants et des jeunes au service de leur insertion et de leur citoyenneté à l'Envol de Béthune

Les droits des enfants  et des jeunes au service de leur insertion et de leur citoyenneté à l'Envol de Béthune

Pour une transformation sociale :L'engagement fort de l'Envol auprès de la jeunesse fragilisée par des ruptures de parcours familiaux, sociaux, scolaires

Aider les jeunes  à se découvrir autrement, à se réinventer au travers de la pratique artistique, de la connaissance de leurs droits et de leur engagement citoyen, tel est le projet du Centre culturel l'Envol à Béthune.

Un projet doublement partagé par Des droits pour grandir pendant cette journée du 13 avril
  • Premièrement , par l'animation de l'exposition "Des droits de l'homme aux droits de l'enfant"  crée par Colette Duquesne pour mettre cette connaissance des droits à la portée de tous et qui a permis d’embarquer pendant plus de 2 heures de débats et de jeu,  45 participants dans cette grande histoire de la conquête des droits humains de l'adulte et de l'enfant.
Les 2 réactions les plus fréquentes des participants ont été :
"On croit savoir et on découvre qu'on ne sait pas "
"On comprend que tout est lié dans ce combat de plusieurs  siècles pour le respect de la personne humaine"
  • Deuxièmement par l'inauguration de l'exposition de Repairs 75, "Enfances placées" du photographe  Nicolas Fries. Chaque portrait  s'accompagne d'une phrase d'accroche qui permet de délivrer haut et fort son message.
Colette Duquesne en tant qu'administratrice Repairs 75 ! et présidente Des droits pour grandir  a proposé à Nicolas d'étendre son projet aux enfants encore placés. Puis après l' aval de leur direction et dans le cadre de  leur Conseil d'enfant, elle les a aidé à exprimer ce qu'ils avaient de plus précieux à dire. Toutes leurs propositions inscrites aux cotés de leur portrait (droit au maintien des liens avec les frères et sœurs d'accueil, accès au dossier, droit  à l'accompagnement par un avocat, à  une instance de participation...)  ont également été transmises, puis portées par le Défenseur des droits dans son rapport annuel 2021